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avarice (n.f.)
1.comportement qui consiste à chercher à accumuler de l'argent, à le conserver.
2.désir insatiable de richesse (personnifié comme l'un des péchés capitaux).
avarice (n.)
1.désir ardent des richesses.
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⇨ definição de Avarice (Littré)
⇨ definição - Wikipedia
avarice (n.)
avarice (n.f.)
âpreté, avare, avidité, chiennerie, crasse, cupidité, économie, égoïsme, lésine, lésinerie, mégotage, mesquinerie, parcimonie, passion, péché, pingrerie, pouillerie, rapacité, sordidité, thésaurisation, usure, ladrerie (vieux), liarderie (vieux)
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Ver também
avarice (n.)
↗ cupide
avarice (n.f.)
↘ amasseur, avare, avaricieux, harpagon ≠ générosité
avarice (n.)
conservation exagérée d'argent[Classe]
désir immodéré de possession[Classe]
tendance particulière et consciente[Classe]
cupide[Propriété~]
avidité, gloutonnerie[Hyper.]
avare, avide, cupide, gourmand, rapace, vorace - envieux[Dérivé]
avarice (n.)
avarice (n. f.)
péché capital[ClasseParExt.]
conservation exagérée d'argent[ClasseHyper.]
désir ardent et immodéré de qqch[Classe]
avarice (n. f.)
avarice, pingrerie[Hyper.]
méchant, misérable[Dérivé]
avarice (n. f.)
Le Littré (1880)
1. Désir excessif d'accumuler.
• À quels maux me livra sa barbare avarice (VOLT. Alz. II, 4)
• Ces Scythes malheureux ont connu l'avarice (VOLT. Scythes, IV, 2)
2. Acte d'avarice.
• Tant de médisances mordantes, tant d'avarices sordides (FLÉCH. Serm. I, 37)
HISTORIQUE
XIIe s.— À la fois avient ke cil cui avarisce navret, voit un altre plonchier [plonger] el voragine de luxure (Job, 451)
XIIIe s.— Pour aazier [satisfaire] s'avarisce (BEAUMANOIR 22)— Avarice qui est racine de touz maus (Psautier, f° 147)
XVIe s.— Toute leur avarice n'estoit qu'à se mignarder des plus tendres caresses (YVER p. 563)— Gabinius mesme faisoit quelque difficulté d'entrer en ceste guerre, combien que l'avarice de ces dix mille talents le dominast et le maistrisast fort (AMYOT Anton. 4)
ÉTYMOLOGIE
Provenç. et espagn. avaricia ; ital. avarizia ; d'avaritia, d'avarus, avare.
Wikipedia
L'avarice est un état d’esprit qui consiste à ne pas vouloir se séparer de ses biens et richesses. L'avarice est l'un des sept péchés capitaux définis par le catholicisme à partir des interprétations d'écrits du Père de l'Église (saint Augustin) sur la généalogie du péché. Elle peut se traduire par une thésaurisation complète d’argent, sans aucune volonté de le dépenser un jour. À l'extrême limite, l'avare se prive de tout pour ne manquer de rien.
Le philosophe grec Théophraste distingue avarice (μικρολογία)[1]de radinerie (μικροφιλοτιμία)[2] : l'avarice est une épargne excessive ; la radinerie est un manque de prodigalité.
Rousseau recommande dans L'Émile de ne pas imiter l'avare : « Ne faites donc pas comme l'avare, qui perd beaucoup pour ne vouloir rien perdre ».
Sommaire |
Au Québec, Séraphin, personnage de Claude-Henri Grignon est passé dans le langage populaire comme synonyme d'avare. Dire d'un homme qu'il est « un vrai Séraphin » équivaut à dire qu'il est d'une grande avarice. Lorsqu'on dit de quelqu'un que c'est "Un Harpagon", cela signifie aussi que c'est quelqu'un d'extrèmement avare (Harpagon étant un personnage avare au plus au point de la pièce de Molière, "L'Avare")
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