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au delà (Faute Ortho)
1.(mauvaise orthographe)mauvaise orthographe couramment utilisée pour le mot "au-delà"
au-delà (n.m.)
1.ce qu'il y a après la mort.
2.endroit où l'on se trouve après sa mort
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⇨ definição de au-delà (Littré)
⇨ definição - Wikipedia
[ au delà ] (adv.)
[ au-delà ] (adv.)
au delà (adv.)
au-delà
au-delà (n.m.)
autre monde, avenir, ciel, futur, l'au delà, surnaturel, vie après la mort
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[ au delà ] (adv.)
au-delà (d'une limite)[Classe]
au delà [mauvaise orthographe]
faute courante en français[Classe...]
au-delà
de plus, en plus, par surcroît[Classe]
au-delà (n. m.)
lieu fictif, lieu imaginaire[Hyper.]
Le Littré (1880)
1. Loc. adv. De ce côté-là, par opposition à au deçà, qui signifie de ce côté ci. Un Français dira en parlant du Rhin, l'Allemagne est au delà.
Fig. Encore plus. J'ai regagné mon argent et au delà.
• Mais on passe encore au delà (PASC. Prov. 10)
2. Loc. prépos.
• Ma maison qui a le lac en miroir au bout du jardin, et la Savoie par delà ce lac, et les Alpes au delà de cette Savoie (VOLT. Lettr. d'Argental, 8 janvier, 1758)
Plus loin.
• Il manquait à vos aventures d'avoir un amant au delà de l'Océan (VOIT. Lett. 40)
• Le gouvernement chinois montrait aux hommes, il y a fort au delà de 4000 ans, qu'on peut les régir sans les tromper (VOLT. Ph. Ignor. 41)
• Que l'on célèbre ses ouvrages Au delà des temps et des âges, Au delà de l'éternité (RAC. Esth. III, 9)
• Je te chérirai même au delà du trépas (CORN. Rodog. V. 3)
Fig.
• Des choses qui sont au delà de leurs forces (FÉN. Tél. XII)
• Il a prêché au delà de tous les plus beaux sermons qu'il ait jamais faits (SÉV. 26)
• Qu'appelle-t-on franchir les bornes de toute pudeur, et passer au delà de toute impudence, sinon d'imposer au père Bauny, comme une chose avérée, une si damnable doctrine ? (PASC. Prov. 15)
ÉTYMOLOGIE
Au et delà.
Wikipedia
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L'Au-delà, aussi appelé l'Autre Monde ou l'Outre Monde est le terme générique désignant, selon les croyances, les mondes non terrestres qui accueillent les âmes après la mort, ou le monde des mythes, qu'ils soient religieux ou non. On le nomme différemment dans chaque civilisation, par exemple Champs Élysées dans la mythologie grecque, Omeyocan chez les Aztèques, ou encore Shéol dans la tradition biblique.
Sommaire |
L’au-delà est le terme désignant un concept présent dans presque toutes les religions sous la forme d'un ensemble de croyances. Celles-ci décrivent l'au-delà comme un monde plus ou moins complexe auquel nous n'avons pas accès en qualité de mortel, et satisfaisant aussi à une combinaison de deux traits principaux :
Il est possible d'envisager l'au-delà indépendamment du concept d'âme, par contre le concept d'âme nécessite d'être associé au concept d'au-delà, milieu où elle existe.
L'au-delà peut être simplement un monde inaccessible par les êtres matériels mais néanmoins se situer ici et maintenant (notion de « Multivers »).
L'au-delà peut être aussi le cadre dans lequel se déroulent de nombreux mythes relatifs à la création de l'univers que nous habitons ; dans ce cas il lui est extérieur dans le temps et dans l'espace.
Parmi les mortels, des individus prétendent avoir une communication avec l'au-delà : on les nomme médiums ou chamans.
Il est fréquent qu'il soit associé à ce monde surnaturel un ensemble de conditions régissant l'accès qu'en ont les âmes des mortels après leur mort. Le sort de celles-ci est alors déterminé par un être suprême (par exemple un Dieu) au cours d'un jugement. Dans ces conditions, le comportement des mortels détermine ce qu'il adviendra de leurs âmes. Il existe aussi des croyances reliant les actions des mortels à des phénomènes se déroulant dans notre monde en conséquence de celles-ci: une catastrophe est alors vue comme une colère ou une punition infligée aux humains par des êtres occupant l'au-delà. Ce mécanisme est le vecteur de la superstition. Les incantations, les offrandes, les sacrifices et les prières sont les moyens utilisés en vue d'influencer les décisions prises par ces êtres.
La croyance en l'au-delà peut cependant être observée indépendamment de toute religion, par exemple dans les cas d'expérience de mort imminente, que certains témoins nomment aussi expérience aux frontières de la mort ou expérience de vie après la mort, et qu'ils situent à la bordure d'un autre monde.
On peut considérer que les plus anciennes sépultures préhistoriques retrouvées (vers - 100 000 ans) constituent une bonne indication de l'existence de ce concept à cette époque. Des traces de rituels funéraires observées dès - 300 000 ans en constituent un indice, bien que ces pratiques puissent aussi être expliquées par un honneur rendu à la vie du défunt. L'au-delà serait apparu ainsi dans les sociétés néandertaliennes et dans les premières sociétés de l'homme moderne. C'est au Paléolithique supérieur qu'apparaissent toutefois les indices les plus forts concernant le concept d'au-delà et peut-être aussi d'âme, avec les offrandes retrouvées dans les sépultures de cette époque.
La ligne directrice régissant l'Au-delà dans les grands monothéismes est essentiellement basée sur la dichotomie définissant un monde de bien-être, le Paradis, et un monde de souffrances, l'Enfer. Entre ces deux mondes il y a, d'après la théologie catholique, le Purgatoire[2]. Par ailleurs, le spiritisme en général et la doctrine spirite en particulier se fondent essentiellement sur la croyance en la communication avec l'Au-delà.
On trouve également dans certaines traditions spirituelles, l'idée d'un monde spirituel intermédiaire[3] . Le spiritualiste iranien Ostad Elahi parle à ce sujet d'un lieu intermédiaire entre deux incarnations terrestres (barzakh ou intermonde, où l'âme pourrait assimiler certaines vérités pouvant favoriser son perfectionnement dans la prochaine vie, voire dans certains cas, y achever son perfectionnement[4].
Conteùdo de sensagent
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