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chiffre
chiffré
chiffre (n.m.)
1.chaque caractère représentant un nombre.
2.nombre, valeur exprimés par des chiffres.
3.(didactique)écriture secrète, codé secrétement ; combinaison secrète qui déclenche l'ouverture d'une serrure, d'un coffre-fort. " Le message a été écrit en code. "
chiffré (adj.)
1.qui utilise un code secret.
chiffrer (v. pron.)
1.s'additionner (nombre, coût).
chiffrer (v. trans.)
1.déterminer (une quantité) par un calcul ; faire un calcul mathématique
2.noter avec des chiffres.
3.rendre incompréhensible un message par l'emploi d'un code.
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⇨ definição de chiffre (Littré)
⇨ definição - Wikipedia
chiffre (n.m.)
arithmétique, cachet, calcul, caractère, chiffrement, code, combinaison, déchiffrement, digit, figure, grille, indice, initiales, marque, monogramme, montant, nombre, signe, somme, symbole, taux, total
chiffre (n.m.) (didactique)
chiffrer (v.)
calculer, coder, compter, cuber, digitaliser, évaluer, monter, numéroter, quantifier, supputer, transcrire
chiffrer (v. trans.)
encrypter, faire un calcul, calculer (V+comp), coder (V+comp), crypter (V+comp)
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Ver também
chiffrer (v. trans.)
↘ calcul, calculable, calculateur, calculatrice, calculette, chiffrable, chiffrage, codage, cryptage, cryptographe, évaluation quantitative, incalculable, machine à calculer, message codé, message crypté, message secret, opération, opération mathématique ↗ chiffre, code, code secret, écriture chiffrée
⇨ chiffre arabe • chiffre binaire • chiffre d'affaires • chiffre d'affaires hors taxes • chiffre décimal • chiffre octal • chiffre romain • chiffre rond • chiffre significatif • f : chiffre • impôt sur le chiffre d'affaires • linge chiffré • papier chiffré • périodisation du chiffre d'affaires • quatre-de-chiffre • taxe sur le chiffre d'affaires
⇨ Chiffre (cryptologie) • Chiffre (homonymie) • Chiffre (insecte) • Chiffre 7 en Tunisie • Chiffre ADFGVX • Chiffre Pollux • Chiffre UBCHI • Chiffre affine • Chiffre d'Agapeyeff • Chiffre d'Alberti • Chiffre d'affaires • Chiffre de Beale • Chiffre de Beaufort • Chiffre de Delastelle • Chiffre de Dorabella • Chiffre de Hill • Chiffre de Playfair • Chiffre de Trithémius • Chiffre de Vigenère • Chiffre des Francs-maçons • Chiffre des Templiers • Chiffre significatif • Cryptanalyse du chiffre de Vigenère • Grand Chiffre • Le Chiffre • Liste des maladies rares commençant par un chiffre • Maison du IV de Chiffre • Philippe Chiffre • Quatre de chiffre • Unité (chiffre) • Yvan Chiffre
chiffre (n. m.)
caractère qui représente les nombres[ClasseHyper.]
équation algébrique[DomainDescrip.]
entier, nombre entier, valeur entière[Hyper.]
digitaliser, numériser[Dérivé]
chiffre (n. m.) [didactique]
chiffré (adj.)
évalué[Classe]
chiffré (adj.)
compté[Classe]
qualificatif, relatif à un nombre, un chiffre[DomaineDescription]
chiffrer (v. pron.) [se+V à+qté (I)]
coûter un prix[Classe]
add up, amount, come (en)[Hyper.]
total[Dérivé]
chiffrer (v. tr.) [musique , énoncé] [V+comp]
chiffrer (v. tr.) [V+comp]
examiner par la raison, raisonner[Hyper.]
calcul - calculateur, calculatrice, calculette, machine à calculer - bignou, ordinateur, ordo, processeur de données - nombre - calcul, chiffrage, évaluation quantitative - calcul différentiel, calcul infinitésimal - calculateur, estimateur, ordinateur - montant - 0, bulle, tête à toto, zéro - calculable[Dérivé]
faire[Domaine]
chiffrer (v. tr.)
coder une information dans un code[Classe]
coder une information en la cryptant[ClasseParExt.]
Le Littré (1880)
1. Caractère qui représente les nombres. Les chiffres arabes (1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 0). Les chiffres romains (I, V, X, L, C, D, M).
Familièrement et fig. C'est un zéro en chiffre, se dit d'un homme qui n'a aucune importance.
Outre les chiffres romains, on se servait au moyen âge, dans les comptes, de chiffres particuliers, qu'on appelait chiffres financiers, et qui différaient très peu des chiffres romains.
Anciennement, chiffre s'est dit au singulier pour désigner les chiffres en général. Apprendre le chiffre.
2. Le montant ou total. Le chiffre du budget s'élève de plus en plus. Le chiffre de nos dépenses augmente chaque année.
3. Par extension, caractères de convention pour une correspondance secrète. La clef du chiffre, l'alphabet qui sert à écrire en chiffres ou à lire ce qui est écrit en chiffres.
• Les dépêches de Pomponné étaient en chiffres, et celui qui déchiffrait se trouva à l'Opéra (SAINT-SIMON 71, 165)
• J'ai lu votre lettre, quoique le chiffre fût un peu brouillé (BOSSUET Lettr. quiét. 154)
• Ces légats ont un chiffre avec le pape : c'était une invention alors très peu commune (VOLT. Moeurs, 172)
4. Façons de parler dont certaines personnes font usage pour s'entendre sans être comprises des autres. C'est un chiffre entre eux.
Par analogie.
• Il n'y a nul chiffre à tout ceci (SÉV. 106)
• Le vieux Testament est un chiffre (PASC. Fig. 6)
5. Marques que les commerçants, ceux surtout qui font le détail, mettent sur des étiquettes qu'ils attachent aux marchandises pour en désigner le prix d'achat et de vente ; la valeur de ces caractères est tout à fait arbitraire et connue d'eux seuls.
6. Entrelacement des lettres initiales. Faire dessiner, graver son chiffre.
• Ces fleurs Formaient le chiffre des soeurs (LA FONT. Tabl.)
• Ce fer porte le chiffre et le nom du coupable (ROTROU Vencesl. IV, 6)
• Dieu sait quels lacs d'amour, quels chiffres, qu'elles fleurs (RÉGNIER Sat. XI)
• Je dois vaincre ; j'ai de ma belle Et les chiffres et la couleur (BÉRANG. Charles VII)
• Arbre, croissez, disais-je, où nos chiffres tracés Consacrent à l'amour nos noms entrelacés (CHAULIEU Au chev. de Bouillon, 1712)
7. S. m. plur. Dans la musique, caractères numériques qu'on place au-dessus des notes de la basse pour indiquer les accords qu'elle comporte. Ainsi 5 ou 3 avec le 5 au-dessus indique l'accord de tierce et quinte, c'est-à-dire l'accord parfait majeur ; l'accord parfait mineur met un bémol à la place du 3.
HISTORIQUE
XIIIe s.— Li premiere figure fait 1, la seconde fait 2, la tierce fait 3, et les autres ausi jusc'à la darraine qui est apelée cyfre.... cyfre ne fait riens, mais ele fait les autres figures multeplier (Comput, f° 15)— Tu es li cyffres [zéro] d'angorisme [numération], Qui ne fait fors tolir le lieu D'autre figure (Les vers du Monde)
XVe s.— Et venoit de piteuses lettres en chiffre, et en grand difficulté [des assiegés de Novarre] (COMM. VIII, 9)— Aussi bien n'y suis fors que une ciffre donnant umbre et encombre (CHASTEL. Chron. des ducs de Bourg. II, 26)
XVIe s.— Il fut remis en prison pour des lettres escrittes en chiffre, qu'un gueux portoit dans un baston creux (D'AUB. Hist. II, 89)— Les Polonois admirerent les confusions bien desmeslées, les chiffres bien formez du ballet, les musiques differentes (D'AUB. ib. II, 104)— Ces lettres estoient en chifre double et très difficile (D'AUB. ib. III, 236)— Avecques eulx [les Vénitiens] leur duc Serenissime, Qu'on peult juger un chiffre [zéro] en algorisme, Lequel tient lieu et de soy n'a pouvoir, Mais seulement fait les autres valoir (J. MAROT I, 80)— Une chesne de perles enfilées dans de l'or, avec des chiffres du Roy, esmaillée de gris, prisée cinq cens escus (DE LABORDE Émaux, p. 213)— Quelques sots et glorieux Italiens se sont voulus affubler de tel honneur par-dessus nous, qu'ils semblent, par leurs escrits, nous reputer comme chiffres [zéros] (PASQUIER Lettres, t. I, p. 45, dans LACURNE)— La dixiesme figure [des nombres] de soy ne vault ou signifie rien ; mais elle, occupant ung ordre, fait valoir celles qui sont après elle ; et pour ce est appelée chiffre ou nulle, ou figure de nulle valeur (DE LAROCHE Arismetique, f° 7)
ÉTYMOLOGIE
Espagn. et portug. cifra ; ital. cifra, cifera. Le chiffre est primitivement le zéro, de l'arabe çafar, vide, à cause que le zéro est vide de toute valeur. De la signification de zéro, chiffre a passé à la signification générale de signe de numération.
SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE
CHIFFRE. - HIST.
XVIe s. Ajoutez :— Le prince ne serait plus qu'un chifre [zéro] ; et le subject commanderoit au seigneur (BODIN République, I, 8)
1. Numéroté. Des pages chiffrées.
2. Écrit en chiffres, caractères secrets. Une lettre chiffrée.
1. Calculer avec les chiffres.
• Je l'ai vu calculer, nombrer, chiffrer, rabattre (J. B. ROUSS. Rép. à Chaul.)
• Peut-être devraient-elles apprendre à chiffrer avant tout (J. J. ROUSS. Ém. v.)
2. V. a. Numéroter. Chiffrer les feuillets d'un registre.
Évaluer en chiffres. On veut tout chiffrer aujourd'hui.
3. Écrire en chiffres. Chiffrer une dépêche.
• Albéroni avait écrit et chiffré de sa main tout ce qui concernait les négociations et les affaires secrètes (SAINT-SIMON 501, 69)
4. Terme de musique. Placer des caractères numériques au-dessus de la basse pour indiquer les accords. Basse chiffrée. On chiffre par 2 l'accord de seconde.
ÉTYMOLOGIE
Chiffre.
Wikipedia - ver também
Wikipedia
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Un chiffre est un symbole utilisé pour représenter les nombres. Il est cependant utilisé avec le sens de « nombre » dans de nombreuses expressions.
Sommaire |
Bien qu'appelés communément "chiffres arabes", les symboles que nous utilisons pour dénoter les nombres étaient connus des Indiens qui utilisaient déjà un système décimal proche de celui que nous connaissons aujourd'hui. Ce n’est que bien plus tard, à la suite de conquêtes en Asie, que les mathématiciens musulmans découvrirent ce système. De même, le concept du zéro, en tant qu'élément neutre de l'addition et élément absorbant de la multiplication, était déjà utilisé par la pensée mathématique indienne.
Les chiffres de 1 à 9 ont été inventés en Inde. Ils apparaissent dans des inscriptions de Nana Ghât au IIIe siècle av. J.-C.. La numération de position avec un zéro (un simple point à l’origine), a été développée au cours du Ve siècle. Dans un traité de cosmologie en sanscrit de 458, on voit apparaître le nombre 14 236 713 écrit en toutes lettres. On y trouve aussi le mot “sunya” (le vide), qui représente le zéro. C’est à ce jour le document le plus ancien faisant référence à cette numération.
Au Xe siècle, le moine français Gerbert d’Aurillac apprit la nouvelle numération et, grâce aux chaires qu’il occupait dans les établissement religieux d’Europe, put introduire le nouveau système en Occident. En 999, il fut élu pape sous le nom de Sylvestre II, ce qui lui conféra l’autorité nécessaire pour implanter la numération indo-arabe.
Le mot « chiffre » (chiffre 1486, Commyne) est un mot refait d'après l'italien cifra, l'ancien français avait cifre (cifre 1220, Coincy), issu du latin médiéval cifra lui-même emprunté à l'arabe sifr[1] (أَلصِّفْر ʾaṣ-ṣifr), utilisé pour « zéro » et signifiant « le vide », le "rien"[2].
Les chiffres arabes font partie des écritures de type logographique. C'est-à-dire le symbole « 1 » se prononce de façon différente dans chaque langue, mais représente le même élément abstrait et reste donc compréhensible sous sa forme écrite.
Dans un système de numération donné, si la base est un nombre entier, le nombre de chiffres requis est toujours égal à la valeur absolue de la base.
En système décimal, les dix chiffres sont : 0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 et 9.
Il arrive parfois qu'on confonde chiffre et nombre. Pour bien comprendre la différence entre les deux, on peut faire l'analogie avec l'écriture d'une langue en affirmant que les chiffres sont des lettres et que les nombres sont des mots. Ainsi, 13 (treize) est un nombre qui s'écrit avec les chiffres « 1 » et « 3 ». Comme un mot peut être constitué d'une seule lettre, tel que le mot « a » (le verbe « avoir » conjugué à la troisième personne de l'indicatif présent), un chiffre représente également un nombre (le nombre 4 (quatre) s'écrit avec seulement le chiffre « 4 »).
Cependant, le mot « chiffre » est utilisé dans de nombreuses expressions avec le sens de « nombre ». Par exemple, le Dictionnaire de l'Académie française indique comme seconde définition de « chiffre » « Le nombre que figurent les chiffres ; le montant total. Le chiffre de la population d'un pays, le nombre de ses habitants. COMMERCE. Chiffre d'affaires, montant des recettes d'un exercice annuel. La taxe sur le chiffre d'affaires. Augmenter son chiffre d'affaires. »][3]. En démographie, on parlera des « chiffres de la population » et non des « nombres de la population » (voir Chiffres de population française, Chiffres de population de la France, etc.)[4] ; en économie, on parlera de « chiffre d'affaires ».
Dans un système numérique de base, un nombre s'écrit comme une séquence de chiffres qui peut être de différentes longueurs. Chaque position dans la séquence a une valeur, tout comme chaque chiffre. La valeur totale du chiffre est calculée en multipliant chaque chiffre dans la séquence par la valeur de sa position, et en additionnant les résultats.
Par exemple, dans le nombre 153, le chiffre 3 occupe la première position qui, quelle que soit la base b, a pour valeur b0=1. Le chiffre 5 est en deuxième place, qui a pour valeur 101 = 10 (car nous sommes en base 10). Et le chiffre 1 occupe la troisième position, qui a pour valeur 102 = 100.
153 vaut :
Chaque chiffre dans un système de numération représente un nombre entier. Par exemple, dans le système de numération indo-arabe, le chiffre 1 représente le nombre un, et dans le système hexadécimal, le chiffre A représente le nombre dix. Un système de numération utilisant la notation positionnelle doit avoir un chiffre qui représente chaque entier de zéro jusqu'à la base du système de numération, celle-ci étant exclue. Par exemple, en base 10, le nombre 10 n'est pas un chiffre.
En mathématiques, on utilise ordinairement les dix chiffres arabo-indiens, dits « arabes » (bien qu’il en existe de nombreuses variantes graphiques dans le monde, et que la graphie des chiffres utilisés dans les langues européennes a aussi connu des évolutions, la forme moderne la plus courante telle qu'on l’utilise aujourd'hui par exemple en français étant appelée les chiffres « arabo-européens », tandis que d’autres formes sont plus communément employées dans les langues à écriture arabe), pour représenter les nombres, comme les entiers naturels ou les nombres réels.
Dans les systèmes de numération positionnels, on utilise une base n normalement fixe, et il suffit alors de n chiffres pour représenter tous les nombres entiers.
Pour les systèmes de numération dont la base est variable ou supérieure à 36, on exprime le plus souvent les nombres dans cette base sous forme d’une suite d’entiers avec un séparateur conventionnel entre eux. C'est le cas pour :
Tous les systèmes de numération ne sont pas à base fixe, et certains ne contiennent pas de chiffre zéro. De plus, indépendamment de la base de numération, certains chiffres peuvent être représentés par un ou plusieurs symboles, et même voir leur valeur modifiée selon leur position relative dans le nombre. De tels systèmes sont dits « non positionnels » * Ces anciens systèmes traditionnels ne permettent d’exprimer que les seuls nombres ordinaux). Des exemples typiques de système où les nombres de 0 à 9 ne sont pas tous représentés par un unique chiffre sont :
Dans la grande majorité des notations (culturelles, mathématiques ou à usage scientifique), le signe des nombres n’est pas représenté par les chiffres eux-mêmes, mais par l’adjonction d’un signe multiplicatif modifiant la valeur du nombre entier exprimé en chiffres (dont l’interprétation reste positive) : le plus souvent on emploie les signes + et − (mais en géographie, on emploie le plus souvent des lettres pour noter une direction nord/sud ou est/ouest, et les comptables leur préfère souvent les parenthèses dans les livres de comptes écrits ou imprimés). Cependant, il existe aussi des systèmes balancés, employant des chiffres signés.
D’autre part, des chiffres supplémentaires sont nécessaires pour exprimer des nombres dans des systèmes dont la base n’est pas unidimensionnelle. Par exemple, pour noter les nombres complexes, un chiffre supplémentaire i est introduit (chiffre dit « imaginaire », parfois noté j dans les formules utilisées dans d’autres sciences comme l’électricité, l’électromagnétisme et le traitement du signal) et s'emploie comme une quantité multiplicative, combinable par des opérations arithmétiques simples pour exprimer le nombre complexe quelconque. Dans d’autre cas, on lui préfère une notation algébrique sous forme de couple (aussi utilisée pour noter les coordonnées).
En arithmétique également, on peut représenter les nombres de nombreuses autres façon, par exemple par la suite des exposants dans la décomposition d’un nombre entier sous forme de produit de puissances de nombre premiers : le nombre de chiffres nécessaires dans un tel système n'étant pas limité, il est nécessaire d’utiliser un séparateur entre les chiffres qui eux-mêmes sont des nombres entiers qui sont exprimés sous forme positionnelle dans une base fixe.
Enfin, tous les chiffres utilisés dans certaines cultures ne sont pas nécessairement entiers. Certaines écritures (par exemple tibétaine) contiennent des chiffres dont la valeur est réduite d’une demi-unité, et des chiffres peuvent exprimer aussi diverses fractions de l’unité dans de nombreuses cultures indiennes.
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En musique, les chiffres servent au chiffrage de la mesure. Ils composent le nombre indicateur, qui indique la mesure. C'est la fraction placée au début d'un morceau dans une partition musicale. Son numérateur indique le nombre de temps de la mesure, et son dénominateur, la valeur de la note. Par exemple, 2/4 signifie « une mesure à deux noires » ; 3/2, « une mesure à trois blanches » ; 6/8, « une mesure à six croches », etc.
On parle aussi de chiffrage. Il y a deux possibilités :
Les chiffres servent aussi à doigter les notes d'une partition, c'est-à-dire que le chiffre placé au-dessus d'une note indique le doigt utilisé pour réaliser la note. Ainsi, au violon le « 1 » représente l'index, le « 2 » le majeur, le « 3 » l'annulaire et le «4» l'auriculaire. Au piano, le « 1 » représente le pouce, le « 2 » l'index, ainsi de suite.
Conteùdo de sensagent
calculado em 0,063s