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Definição e significado de curé

cure

  • 1ère personne du singulier (je) du présent de l'indicatif du verbe curer
  • 3e personne du singulier (il, elle) du présent de l'indicatif du verbe curer
  • 1ère personne du singulier (je) du présent du subjonctif du verbe curer
  • 3e personne du singulier (il, elle) du présent du subjonctif du verbe curer
  • 2e personne du singulier (tu) du présent de l'impératif du verbe curer

curé

  • participe passé masculin singulier du verbe curer

Definição

curer (v. trans.)

1.nettoyer en grattant ou en creusant.

curé (n.m.)

1.prêtre catholique qui dirige une paroisse ; prêtre qui dessert une chapelle.

2.prêtre qui assiste un curé.

3.celui qui a reçu le troisième ordre majeur de la religion catholique.

cure (n.f.)

1.traitement médical.

2.habitation du curé dans une paroisse.

cure

1.(Cismef)Période de traitement d'une maladie ou d'une lésion en vue de sa guérison.

2.(Cismef)Méthode particulière de traitement.

3.(Cismef)Séjour dans une station thermale ou climatique.

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Definiciones (más)

definição de curé (Littré)

definição - Wikipedia

Sinónimos

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Ver também

curer (v. trans.)

curage, curetage, cureur, curure cure-pied, étable, vacherie

cure (n.f.)

curial, curiste

Locuções

Affaire du Curé d'Uruffe • Antoine Curé • Arcy-sur-Cure • Assemblage (The Cure) • Bessy-sur-Cure • Charlot fait une cure • Chastellux-sur-Cure • Communauté de communes entre Cure et Yonne • Cure (cours d'eau) • Cure (film, 1997) • Cure d'air Trianon • Cure de Sakel • Cure de désintoxication • Cure de l'église Saint-Pierre-Saint-Paul • Cure psychanalytique • Cure thermale • Cure-dent • Curé nantais • Curé primitif • Difficult to Cure • Discographie de The Cure • Domecy-sur-Cure • Easy Cure • Faith (album de The Cure) • Freakshow (The Cure) • Fresh Pretty Cure! • Gien-sur-Cure • Greatest Hits (DVD de The Cure) • Greatest Hits (album de The Cure) • Grottes d'Arcy-sur-Cure • Gustave Curé • Jah Cure • Jardin de curé • Jean-Claude Cure • Journal d'un curé de campagne • Journal d'un curé de campagne (film) • La Cure • Le Curé d'Ars et sa passion • Le Curé de Cucugnan • Le Curé de Tours • Le Curé de Tours (téléfilm, 1980) • Le Curé de village • Le Curé de village (film) • Le Curé de village (homonymie) • Le Curé de village (radio) • Le Curé et le Mort • Le Noël de monsieur le curé • Live in Japan (The Cure) • Lucy-sur-Cure • Membres de The Cure • Miracle Cure • Mon curé • Mon curé chez les Thaïlandaises • Mon curé chez les nudistes • Mon curé chez les pauvres • Mon curé chez les riches • Never Enough (The Cure) • Post-cure • Rue de la Cure • Show (The Cure) • Taking Off (The Cure) • The Cure • The Cure (album) • The Cure (homonymie) • The Cure In Orange • The Cure Play Out • The Cure for Insomnia • The End of the World (The Cure) • The Peel Sessions (The Cure) • Trilogy (The Cure) • Voutenay-sur-Cure

Dicionario analógico

curer (v. pron.) [se+V+comp]


curer (v. tr.) [V+comp]

soigner un cheval[Classe]

frotter, gratter[Classe]

nettoyer[Classe]

puits[termes liés]

canal[termes liés]

cure-pied[GenV+comp]


curer (v. tr.)

nettoyer[Classe]

fumier[termes liés]




cure (n. f.)



cure (n. f.) [vieux]



curé (n. m.)



Le Littré (1880)

CURER (v. a.)[ku-ré]

1. Enlever des immondices accumulées. Curer un puits, un fossé, un port.

Curer la charrue, la débarrasser de la terre qui s'y attache.

Curer une vigne en pied, ôter du cep des vignes tout le bois inutile.

Se curer les dents, les oreilles, se nettoyer les dents, les oreilles avec un cure-dent, un cure-oreille.

Terme d'eaux et forêts. Enlever les branches mortes, les chicots, les souches mal venues.

2. Terme de fauconnerie. Donner une cure à un oiseau.

V. n. Rendre la cure, en parlant de l'oiseau. Le faucon a curé.

SYNONYME

CURER, ÉCURER. Si vous nettoyez quelque chose en le frottant avec du grès, du sable, etc. pour le rendre clair, vous écurez, mais, si vous ôtez d'une concavité quelconque ce qu'elle peut renfermer de sale, vous curez. On doit donc dire et l'on dit : écurer des couteaux, des chandeliers, etc. et curer des puits, des fossés, des rivières.

HISTORIQUE

XIIIe s.Ne sueffre sor toi nule ordure Lave tes mains, et tes dens cure (la Rose, 2176)Et furent les fossés curez dehors et dedans (JOINV. 275)

XIVe s.Nous loons un bon homme aucune foiz en disant qu'il ne cure des honneurs mondains (ORESME Eth. 49)Aucune foiz par negligence ou pour ce que l'en n'en cure, sont aucuns ars empirez et oubliez en tout ou en partie par procès de temps (ORESME ib. V, 16)

XVe s.Toutes voies point il [le comte de Foix] n'arresta jusques à tant qu'il lui eust donné cinq coups d'une dague ; et puis après commanda le comte qu'il fust mis dans la fosse, et il le fut, et là mourut, car il fut povrement curé de ses plaies (FROISS. II, III, 10)

XVIe s.Plus on attend, plus s'enracine le mal ; toutesfois il est encores guerissable, moyennant qu'on le cure par les causes plustost que par les accidens (LANOUE 254)Gens de bras pour applanir les chemins, bastir ponts à passer les eaux, curer les rivieres (AMYOT Lucull. 49)Le temps de curer [émonder] les jeunes arbres est lorsqu'ils sont en seve, pour tant plus facilement en estre leurs plaies recouvertes (O. DE SERRES 639)

ÉTYMOLOGIE

Berry, cuer, nettoyer ; provenç. curar, soigner et curer ; du latin curare (voy. CURE). Dans l'ancien français, curer signifiait à la fois soigner, avoir souci, et nettoyer.

CURE (s. f.)[ku-r']

1. Soin, souci. Ce mot ne se dit guère qu'avec le verbe avoir et sans article. Il n'a cure de rien.

L'âne, qui goûtait fort l'autre façon d'aller, Se plaint en son patois ; le meunier n'en a cure (LA FONT. Fabl. III, 1)

Les Biron le sucèrent [Noyer] si parfaitement qu'il est mort sur un fumier, sans que pas un d'eux en ait eu souci ni cure (SAINT-SIMON 479, 192)

Sa femme languit et meurt ; le mari n'en a cure, et c'est là, dit-on, ce qui l'a tuée (P. L. COUR. Lett. II, 95)

On a beau prêcher à qui n'a cure de bien faire, se dit de ceux qui n'ont aucun soin de profiter des instructions qu'on leur donne.À beau parler qui n'a cure de bien faire, les belles paroles de celui qui se conduit mal ne persuadent pas.

2. Terme de médecine. Traitement d'une maladie, d'une blessure, qui en produit la guérison. Il a entrepris cette cure. Cure difficile.

Il en fit prendre soin, la cure fut complète (CORN. Poly. I, 4)

Un médecin d'importance qui fait des cures merveilleuses (MOL. Am. médecin, III, 4)

S'il fait cette cure, il ne sera pas mal à la cour (SÉV. 422)

Votre prieur a fait là une belle cure (SÉV. 441)

Ce qui arriva de cela [une saignée de pied], c'est que ma difficulté de respirer ne diminua point, et que, le lendemain, ayant marché mal à propos, le pied m'enfla de telle sorte que j'en fus trois semaines dans le lit ; c'est là toute la cure qu'il [Perrault le médecin] m'a jamais faite, que je prie Dieu de lui pardonner en l'autre monde (BOILEAU Longin, Subl. réflex. I)

Tous deux [les médecins] s'étant trouvés différents pour la cure, Leur malade paya le tribut à nature (LA FONT. Fabl. V, 12)

Par là, le plus difficile étant fait, il formait en lui-même le plan de la cure et le suivait avec une constance inébranlable.... (FONTEN. Chirac)

Cette cure coûta à M. Littre quatre mois de soins les plus assidus et les plus fatigants (FONTEN. Éloges, Littre.)

Chaque médecin [en Égypte], si l'on en croit Hérodote, se renfermait dans la cure d'une seule espèce de maladie, les uns pour les yeux, d'autres pour les dents, et ainsi du reste (ROLLIN Hist. anc. Oeuvres, t. I, p. 94, dans POUGENS)

Cure radicale, celle qui consiste à faire disparaître complétement une affection interne ou chirurgicale. Cure palliative, celle qui ne fait qu'enlever quelques-uns des symptômes d'une maladie et qui en laisse subsister le fond.

Cure d'eaux minérales, cure de bains de mer, saison passée aux eaux, afin d'en faire un emploi méthodique pour un but déterminé.

On dit de même : cure de petit-lait, cure de raisin, usage du petit-lait, du raisin pendant un certain temps et en grande quantité chaque jour.

3. Terme de fauconnerie. Peloton de chanvre, de coton ou de plume qu'on fait avaler à an oiseau de chasse pour dessécher son flegme. Les oiseaux se portent mieux quand ils ont rendu leur cure. Ce faucon tient sa cure. Armer les cures, les préparer pour les faire avaler

Se dit aussi des excréments des oiseaux de proie.

4. Revêtement des moules à laiton avec de la bouse de vache.

SYNONYME

1° CURE, CURATION. Il y a cette différence entre cure et curation, que le premier de ces mots indique un traitement achevé et le second un traitement proposé ou actuellement employé.

2° CURE, GUÉRISON., Il y a cette différence entre cure et guérison, que le premier se rapporte au médecin, et le second au malade. On fait une cure, on procure une guérison. On dit une belle cure, c'est-à-dire qui fait honneur à celui qui l'a entreprise ; et l'on dit une guérison prompte et parfaite. Enfin, cure exigeant l'intervention d'un traitement, ne se dit guère que des maux qui ont quelque durée, quelque gravité, tandis que guérison se dit de toute espèce de maux, petits ou grands.

HISTORIQUE

XIe s.Ce sait hom bien, n'ai cure de menace (Ch. de Rol. XX)Dist Oliviers : n'ai cure de parler (ib. XC)Qui si sont fier, n'ont cure de leur vie (ib. CLXXXIV)

XIIe s.Nos bons Franzois n'ont cure de fuir (Ronc. p. 60)J'aim et desir ce qui de moi n'a cure (Couci, p. 125)

XIIIe s.Et Tybers et la vieille n'ont cure d'arester [de s'arrêter] (Berte, XVII)Com cele qui n'avoit fors de bien faire cure (ib. XLII)Et fist souper ses chevaliers et sa gent de haute cure et donner avoine as chevaux (Chr. de Rains, p. 15)De l'autre amor dirai la cure [guérison] Selonc la devine Escripture (la Rose, 4415)Ton cuer ne porras apaier, Ains iras encor essaier Se tu verras par aventure Ce dont tu ies en si grant cure (ib. 2348)

XIVe s.La cure des filz appartient au pere (ORESME Eth. 247)Il met sa cure et son entente à si bonnes sciences (ORESME ib. Prol.)Et qui ne les fait, il n'a cure de estre bon (ORESME ib. 41)Avoir cure et diligence de savoir particulierement les comptes des mises et receptes, c'est condicion de homme qui a vice de parvificence (ORESME ib. 113)

XVe s.Monseigneur Jean le Bel, qui grand cure et toute bonne diligence mit en cette matiere (FROISS. Prol.)Ils en trouverent si grand foison [de richesses], que garçons n'avoient cure de draps fourrés de vair (FROISS. I, I, 266)Si fit adonc en ce temps de celui qui puis fut le roi de France, la plus belle cure dont on pust ouïr parler (FROISS. II, II, 70)Et prenoit tout le soin et la cure de l'ost [Charles de Bourgogne] (COMM. VI, 13)

XVIe s.Nous ne sommes point si malades les uns que les autres, ni d'une mesme maladie : et pour tant il n'est jà mestier que la cure soit pareille en tous (CALVIN Instit. 552)Il faut rejeter loin toutes cures [soins] estranges, par lesquelles l'entendement soit transporté çà et là (CALVIN ib. 675)Il se jecta en la pauvreté, pour se desfaire des indignitez et cures de la maison (MONT. IV, 77)Consumer son ame de cures et d'ennuis (AMYOT Comm. il faut nourrir les enfants, 37)Ceulx qui louent les hommes vertueux sans les aimer, ceux-là reverent bien leur renommée, mais ilz ne portent point d'affection à leur vertu, ny n'ont cure de l'imiter (AMYOT C. d'Utiq. 15)Comme le medecin Menecrates, pour avoir esté heureux en la cure de quelques maladies desesperées, eust esté surnommé Jupiter (AMYOT Agésil. 34)Il ne s'est fait cure tant grande et difficile fust-elle, où ma main et mon conseil n'ayent esté requis (PARÉ Au lecteur.)Je mets après cela la cure generale, puis la particuliere, avec les instrumens propres pour la curation de quelque maladie que ce soit (PARÉ ib.)Il est tout presché qui n'a cure de bien faire (COTGRAVE)

ÉTYMOLOGIE

Wallon, keure ; provenç. espagn. et ital. cura ; du latin cura, coira, coera, que quelques étymologistes ont essayé de ramener à une forme cov, cav, radical de cavere, avoir soin, prendre garde.

CURE (s. f.)[ku-r']

1. Terme du culte catholique. Anciennement bénéfice, aujourd'hui charge ecclésiastique dont le titulaire a soin de la conduite des âmes dans une certaine étendue de pays qu'on nomme une paroisse.

Si j'avais quelque pauvre cure de bonnes gens à desservir (J. J. ROUSS. Ém. IV)

Dans le langage ordinaire, cure signifie aussi succursale.

2. Le presbytère, l'habitation du curé. Aller à la cure.

HISTORIQUE

XIVe s.[Le pape Jean] la cure de Ste Eglise gouvernoit, et l'avoit receue après le pape Hormisde (Chron. de St-Denis, t. I, f° 18, dans LACURNE)

XVe s.On ne peut desservir deux cures, Ne prendre gaiges en deux cours (Ch. d'Orl. Chanson, 91)

ÉTYMOLOGIE

Voy. CURÉ ; saintongeois, chure ; wallon, keure.

CURÉ (s. m.)[ku-ré]

1. Prêtre placé à la tête d'une paroisse, et soumis dans l'exercice de ses fonctions à l'évêque du diocèse.

On ne peut pas faire une loi qui obligeât les curés à dire la messe (PASC. Prov. 6)

Ce que je trouvai de plus ferme à Paris dans la consternation, furent les curés ; ils travaillèrent dans ces sept ou huit jours-là parmi le peuple avec un zèle incroyable (RETZ Mém. liv. III, p. 105, dans POUGENS)

Feu M. le duc de Bourgogne avait la plus grande estime pour les curés de Paris ; il était persuadé qu'il fallait leur faire l'accueil le plus favorable à la cour, et leur accorder, autant qu'il était possible, les petites grâces qu'ils demandaient pour des familles (SAINT-FOIX Ess. Paris, Oeuvres, t. IV, p. 214, dans POUGENS)

Mon bon ami, je ne trouve rien de si beau que d'être curé ; un bon curé est un ministre de bonté, comme un bon magistrat est un ministre de justice (J. J. ROUSS. Ém. IV)

De bons curés seront, quand on le voudra bien, dans les villes et dans les campagnes, des missionnaires perpétuels, et de plus des arbitres, des conciliateurs, de fidèles dépositaires de la confiance des familles, des liens de concorde, de zélés surveillants de la tranquillité publique (MARMONT. Élém. litt. t. VI, p. 70, dans POUGENS)

Le curé ne doit connaître ni saisons, ni distance, ni contagion, ni soleil, ni neige, s'il s'agit de porter l'huile au blessé, le pardon au coupable, ou son Dieu au mourant (LAMART. dans le Dict. de DOCHEZ.)

Coupable ou malheureux, vous n'avez rien à taire ; Pardonner, soulager, c'est tout mon ministère ; Je suis l'oeil et la main et l'oreille de Dieu, Sa providence à tous, le curé de ce lieu (LAMART. ib.)

Un mort s'en allait tristement S'emparer de son dernier gîte ; Un curé s'en allait gaiement Enterrer ce mort au plus vite (LA FONT. Fabl. VII, 1)

Spécialement, en termes d'administration, le curé d'une église paroissiale, par opposition à la succursale.

Dans le langage ordinaire, par politesse, on donne le nom de curé au simple succursaliste.

Familièrement. C'est Gros-Jean qui remontre à son curé, se dit d'un ignorant qui prétend conseiller un plus habile que lui.

Curé primitif, titre porté par certaines communautés régulières qui avaient jadis possédé des cures et qui en avaient gardé quelques droits.

Monsieur le curé n'aime pas les os, que lui donnez-vous à manger ? Jeu d'enfants ou attrape fondée sur l'homophonie d'os et de la voyelle o. Il faut répondre par un mot dans le nom duquel la voyelle o n'entre pas : des navets, du veau, un canard, etc. Mais si l'on dit des carottes, des abricots, etc. on donne un gage.

2. Morceau de chapeau dont le coutelier se sert pour tenir les pointes des pièces sur le polissoir.

3. Variété de tulipe d'un gris de lin fort pâle.

PROVERBES

Il faut faire carême-prenant avec sa femme et Pâques avec son curé.

Vous allez trop vite à l'offrande, vous ferez choir M. le curé, se dit à ceux qui s'empressent trop de faire quelque chose.

Il a affaire au curé et aux paroissiens, se dit de celui qui a affaire à plusieurs parties ensemble.

Qui croit sa femme et son curé est en danger d'être damné, c'est-à-dire une femme est capable de faire damner un homme nonobstant les bonnes instructions de son curé.

HISTORIQUE

XIIIe s.Laie gent aiment moult leur bon prestre curé (J. DE MEUNG Test. 700)Sans avoir cureur [souci], [les moines] ont l'avoir, Et li curez n'en puet avoir, S'à peine non, du pain pour vivre, Ne achater un petit livre Où il puisse dire complies (RUTEB. 193)

XIVe s.Je més la main à vous pour che que vous devés à monsignor che prestre qui est no bons curés (Baud. de Seb. VII, 681)

ÉTYMOLOGIE

Bas-latin, curatus, curé, de cura, soin (voy. CURE 1) : celui qui est chargé d'un soin, du soin des âmes. Quelques-uns ont voulu le rattacher au latin curio, prêtre de la curie ; mais la forme du mot ne le permet pas.

CURÉ, ÉE (part. passé.)[ku-ré, rée]

Nettoyé. Un fossé bien curé.

Wikipedia

Cure

                   
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Sommaire

  Sens religieux

La cure, c'est la « charge d'âme » (du latin cura animarum), c'est-à-dire la responsabilité spirituelle d'une paroisse. Au maximum, un seul prêtre peut être curé - selon les régions, on dit aussi recteur ou abbé, en breton ar personn - d'une paroisse, les autres prêtres sont qualifiés de vicaires. De nos jours, la charge d'âme d'un curé tend à s'étendre sur plusieurs communes.

Par extension, le terme cure est parfois employé pour le presbytère ou pour désigner les personnes qui participent à la vie de la paroisse.

  Rivière

La Cure est aussi un cours d'eau qui traverse le village de Sermizelles dans l'Yonne et qui prend sa source à Gien-sur-Cure dans la Nièvre au cœur du parc du Morvan.

  Village

  Arts

  Médecine

   
               

 

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