definição e significado de promis | sensagent.com


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Definição e significado de promis

promis

  • 1ère personne du singulier (je) du passé simple de l'indicatif du verbe promettre
  • 2e personne du singulier (tu) du passé simple de l'indicatif du verbe promettre
  • participe passé masculin singulier du verbe promettre
  • participe passé masculin pluriel du verbe promettre

Definição

promis (adj.)

1.qui a été promis. Chose promise, chose due.

promettre (v. trans.)

1.s'engager envers quelqu'un à faire une chose.

2.dire affirmativement (ex. - je vous assure que la maison est saine / je vous promets que tout se passera bien - cela engage votre conscience.).

3.se donner à soi-même une obligation (ex.
- Je promets d'essayer de sortir de cette addiction
- Cela revient à ne rien promettre.).

4.prendre un engagement, promettre.

promettre (v.)

1.promettre qqch à qqn par un serment.

2.faire espérer. Cela promet.

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Definiciones (más)

definição de promis (Littré)

Sinónimos

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Ver também

Locuções

Dicionario analógico

promis (adj.)

espéré[Classe]

promettre[termes liés]


promis (n. m.)


promettre (v. pron.) [se+V]

espérer[Classe]


promettre (v. tr.) [V+comp--à+comp • V+de+Ginf--à+comp • V+comp]


promettre (v. tr.) [V+comp]




promettre (verbe)

affirmer[Classe]

faire serment[Classe]


promettre (verbe)

assurer, promettre[Hyper.]

garantie[Dérivé]


promettre (verbe)


Le Littré (1880)

PROMIS, ISE (part. passé de promettre)[pro-mî, mi-z']

1. Qu'on s'est engagé à donner, à faire, etc.

Il me représenta l'honneur et la patrie, Et l'empire d'Asie à la Grèce promis (RAC. Iph. I, 1)

Fig.

La nation entière est promise aux vautours (RAC. Esth. II, 1)

Substantivement. Fiancé, fiancée. Le promis, la promise, les promis.

2. Terre promise, la terre de Chanaan que Dieu avait promise aux Hébreux.

Ce grand homme [Moïse] n'eut pas même la consolation d'entrer dans la terre promise : il la vit seulement du haut d'une montagne (BOSSUET Hist. II, 3)

Fig. Un pays fertile, délicieux.

Le ciel est notre patrie ; c'est la terre promise (FÉN. t. XVIII, p. 184)

Chose promise, chose due, c'est-à-dire on est obligé de remplir exactement ses promesses.

PROMETTRE (v. a.)[pro-mè-tr']

1. S'engager verbalement ou par écrit à quelque chose.

Je promettais beaucoup et j'exécutais peu (CORN. Rodog. I, 6)

Il [Richelieu] n'était pas libéral, mais il donnait plus qu'il ne promettait.... il [Mazarin] promit tout, parce qu'il ne voulait rien tenir (RETZ Mém. II)

Je les rappellerai [les Hébreux] dans la terre que j'ai promise avec serment à Abraham, à Isaac et à Jacob (SACI Bible, Baruch, II, 34)

Je vous ai promis ma nièce, et je vous la promets (HAUTER. le Coch. SC. 2)

Je me figure un auteur Qui dit : Je chanterai la guerre Que firent les Titans au maître du tonnerre ; C'est promettre beaucoup ; mais qu'en sort-il souvent ? Du vent (LA FONT. Fabl. V, 10)

Que ne lui promit-on pas alors ? (BOSSUET Anne de Gonz.)

Celui qui promet quelque chose s'est déjà, en quelque sorte, dessaisi lui-même, en s'ôtant la liberté d'en disposer d'une autre manière (BOSSUET Sermons, Soumission à la parole, 3)

Je ne révoque rien de ce que j'ai promis (RAC. Brit. III, 5)

Avez-vous bien promis de me haïr toujours ? (RAC. Bérén. V, 5)

Je promets d'observer ce que la loi m'ordonne (RAC. Athal. IV, 3)

Promettant... obligeant... renonçant... formule que les notaires emploient par abréviation à la fin de quelques actes.

Absolument.

Nous promettons selon nos espérances, et nous tenons selon nos craintes (LA ROCHEFOUC Max. 38)

Le plus lent à promettre est toujours le plus fidèle à tenir (J. J. ROUSS. Émile, IV)

Promettre monts et merveilles, faire toutes sortes de promesses avantageuses.

Promettre plus de beurre que de pain, promettre plus qu'on ne veut ou peut tenir.

Par plaisanterie. Promettre d'excellentes choses.

Je te jure par Mahomet Que le ciel ici te promet Tant de bien qu'on ne le peut dire, à tes enfants un grand empire, Et plus de beurre que de pain Au valeureux peuple romain (SCAR. Virg. VIII)

Promettre quelqu'un, promettre sa visite, sa société.

Il a un ami qui n'a pas d'autre fonction sur la terre que de le promettre longtemps à un certain monde, et de le présenter enfin dans les maisons comme homme rare et d'une exquise conversation (LA BRUY. V)

2. Familièrement. Assurer qu'une chose sera. Je vous promets qu'il sera puni.

Je vous promets que je ne saurais les donner à moins [des fagots] (MOL. Méd. malgré lui, I, 6)

3. Annoncer, prédire, avec un nom de personne pour sujet. Je vous promets du beau temps pour demain.

Je ne lui promets pas [à un fils d'Henri IV] ce qu'il doit espérer, Si je ne lui promets la conquête du monde (MALH. V, 2)

Aux plus savants auteurs comme aux plus grands guerriers Apollon ne promet qu'un nom et des lauriers (BOILEAU Art p. IV)

Faire espérer.

Toutes deux [Anne d'Autriche et Marie-Thérèse] d'une si heureuse constitution qu'elles semblaient nous promettre le bonheur de les posséder un siècle entier (BOSSUET Mar.-Thér.)

Annoncer, avec un nom de chose pour sujet.

C'est une physionomie qui promet une longue vie (SÉV. 601)

On apporta dans des corbeilles tous les fruits que le printemps promet et que l'automne répand sur la terre (FÉN. Tél. I)

Le vent qui enflait nos voiles nous promettait une heureuse navigation (FÉN. ib. VI)

Je crus trouver ici le repos de mon coeur ; Il n'est point dans l'éclat dont le sort m'environne ; La gloire le promet, l'amour, dit-on, le donne (VOLT. Orph. II, 6)

4. Se promettre, c'est-à-dire promettre à soi, espérer.

Que peut-on se promettre d'une populace émue, conjurée, furieuse ? (BOURDAL. Exhort. sur le jugem. du peuple contre J. C. t. II, p. 44)

Quel fruit te promets-tu de ta coupable audace ? (RAC. Mithr. V, I)

La jeunesse se promet tout d'elle-même (FÉN. Tél. I)

Qui peut se promettre d'éviter, dans la société des hommes, la rencontre de certains esprits vains, légers... (LA BRUY. V)

Promettez-vous, si vous voulez, de conserver jusqu'au dernier soupir la raison aussi saine et aussi entière que vous l'avez aujourd'hui (MASS. Carême, Impén.)

Se promettre signifie aussi prendre une ferme résolution. Il se promet de profiter de vos sages avis.

Vous vous promettez plus que vous ne voudrez faire, Et vous n'en croirez pas toute cette colère (CORN. Tois. d'or, IV, 3)

Vous qui ne sauriez vous promettre d'être fidèle (MASS. Panégyr. St Benoît.)

5. V. n. Faire espérer, donner des espérances, en parlant de choses. Les blés, les vignes promettent.

Cette inclination invincible pour la guerre promettait beaucoup, et elle tint tout ce qu'elle promettait (FONTEN. Bessons.)

Il se dit aussi des personnes.

Ils promettaient beaucoup dans l'exercice, ils ont plié d'abord dans le combat (BOSSUET Sermons, Par. de Dieu, 3)

On n'y doit admettre [à la pratique des arts] que des jeunes gens d'un génie qui promette beaucoup (FÉN. Tél. XII)

Pompone le cadet, qui promettait, fut tué de bonne heure à la tête d'un régiment de dragons (SAINT-SIMON 71, 169)

6. Se promettre, v. réfl. Promettre sa propre personne.

Je vous dirai au reste que ce n'a été qu'après m'être promise à M. de Sercour, que j'ai su que vous étiez son neveu (MARIV. Marianne, 9e part.)

PROVERBES

Au riche ne promets rien, et au pauvre ne lui manque pas, se dit parce que l'un pourra te contraindre et que tu fais tort à l'autre.

Promettre et tenir sont deux.Promettre et ne tenir mène les gens bien loin (MARIV. Marianne, part. 1)

Ce n'est pas tout de promettre, il faut tenir.

Il se ruine à promettre, et s'acquitte à ne rien tenir, ou s'enrichit à ne rien tenir, c'est-à-dire il promet beaucoup et ne tient rien.

HISTORIQUE

XIe s.Pramis nous est, fin prendrons à itant [nous mourrons ici] (Ch. de Rol. CXIV)Communement [tous ensemble] [ils] li prametent lur feiz [foi] (ib. CCXLVIII)

XIIe s.Pramise [il] lui avoit [la chose], si lui tint bien covant [convention] (Sax. XII)[La belle Hélissant] Que j'avoie pramise [à] Berart de Montdidier (ib. XVI)

XIIIe s.Cilz qui promet et il ne solt [paye], Le cuer [coeur] de son ami se tolt [s'enlève] (GUIGNARD Statuts de l'HôtelDieu à Troyes, p. 33)Uns dragons ert [était] là jus aval, Ki molt li prometoit grant mal, Geule baée, famillous (GUI DE CAMB. Barl. et Jos. p. 70)Cil nuist en sa verité, qui ne tient ce que il promet (Psautier, f° 108)Et se gabent ainsinc [ainsi] des dames, Et lor promettent cors et ames (la Rose, 4410)

XIVe s.Qui proumait, il se met en debte (J. DE CONDÉ t. II, p. 205)

XVe s.C'est un très bon drap de Rouen, Je vous prometz, et bien drapé (Patelin)

XVIe s.Me promis-tu en ma chambre parée, Quand te promis suivre jour et serée, De me laisser en ce bois en dormant ? (MAROT II, 5)Le jurement par lequel le gendarme se promet et s'oblige à son capitaine (CALV. Instit. 1036)Quand sera-ce que quelqu'un s'osera promettre qu'il aura fait ce qui estoit en lui ? (CALV. ib. 1140)À vingt ans nos ames promettent tout ce qu'elles pourront (MONT. I, 407)Je vous promets que je l'ay veu en telle extremité de maladie et si bas, que je vous puis dire que tout le monde, fors moy seulement, estoit desesperé de sa vie (MARG. Lett. 47)L'abbé, estant au fort de sa maladie, lui promettoit chiens et oiseaux [monts et merveilles] (DESPER. Contes, CVI)Antigonus, surnommé Doson, c'est-à-dire qui donnera, pour ce qu'il promettoit tousjours et jamais ne donnoit (AMYOT Cor. 15)Il estoit de petite stature, et promettoit bien peu de soy à le veoir (AMYOT Agésil. 2)Promettre est veille de donner (LEROUX DE LINCY Prov. t. II, p. 376)Promettre sans donner est fol reconforter (COTGRAVE)Entre promettre et donner doit-on la fille marier (COTGRAVE)

ÉTYMOLOGIE

Bourg. i te premô, je te promets ; wall. promett ; prov. prometre ; espagn. prometer ; ital. promettere ; du lat. promittere, de pro, en avant, et mittere (voy. METTRE).

SUPPLÉMENT AU DICTIONNAIRE

PROMETTRE. Ajoutez : - REM. Malherbe a joint promettre à un infinitif sans de : vingt et cinq écus, moyennant lesquels je promettais relâcher ledit Sauvecanne, Lexique, éd. L. Lalanne.

 

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